dimanche 1 août 2010

La poudrière du Proche-Orient 2


Suite logique de l'épisode précédent:

Elle s'imposait après le passage "historique" des rois mages à Beyrouth, décharge publique des tensions proche ou moyen-orientales, et chargés eux-mêmes d'encens de myrrhe et d'or pour tenter des les calmer. 

En attendant de savoir s'ils ont réussi à désamorcer provisoirement la poudrière, jusqu'à la prochaine poussée de fièvre, voici une proposition urbanistique de solution à la prolifération des voitures au Liban et le cortège de soucis qui l'accompagne (pollution, dépense de carburant et usure de nerfs sans compter accidents ou disputes entre conducteurs).
Plutôt que le projet concu par un cerveau atteint de sénilité précoce, et heureusement abandonné, d'un complexe résidentiel en forme de cèdre en pleine mer (dans une zone géologique instable), à quand des trottoirs pour que les gens puissent aller à pied et des pistes cyclables pour qu'ils puissent se déplacer à vélo dans Beyrouth, Tripoli, SaÏda ou la Dahieh ? (A Zahlé,on oublie, il y a trop de côtes). 
Ce serait pourtant un bon moyen pour désengorger la circulation dans un pays grand comme le "con d'une scorpionne" et éviter aux irresponsables et autres automobilistes nantis de plaques minéralogiques à numéros magiques de donner l'exemple en prenant les autoroutes à contre-sens.
Un projet qui pourrait très bien se monter en coopération avec la région Ile de France (IAURIF ou URBAMED) qui a déjà fait ses preuves à Paris comme à Beyrouth.

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