vendredi 30 juillet 2010
la poudrière du Proche-Orient
Provisoirement sans commentaire.
Juste une amorce : le Proche-Orient en perpétuelle voie d'explosion,
c'est comme dans le film un Dîner de cons, "Y s'fatiguent jamais".
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Sur le pont d'Avignon. Le coup frappa l'enfant à la machoire. Il resta debout. Sourirant. Le tirailleur: rien. Le fusil: aucun. Et il y avait cette aube et ce soir pleins d'expectations les plus brillantes.
RépondreSupprimerS'il vous plait...
Poétudes
- Peter Ingestad, Sverige