Les "Femen" Arabes sont dans l'arène
Du haut de ses vingt deux printemps, la nouvelle Pharaonne d'Egypte est enfin de retour et bien vivante, contrairement aux rumeurs sur le Web qui la donnaient châtiée à mort.
Vêtue, comme pour la première fois, d'une paire de coquets bas noirs et de ses ingénues Minnies rouges, avec en plus une paire de doctes lunettes et un drapeau égyptien, elle s'est montrée nue comme le Boson de Higgs l'a créée, confirmant qu'elle était à elle seule une révolution dans la révolution.
Couronnée de gloire et de fleurs, elle est apparue nue, telle la Liberté sur les barricades, devant l'ambassade de son pays dont elle brandissait l'aigle(sse) et les couleurs, prouvant qu'elle était à elle seule un printemps dans le printemps arabe.
Plus rien désormais ne pourra empêcher les femmes arabes, iraniennes et israéliennes qui l'ont soutenue, de s'exprimer. Plus personne ne pourra empêcher les femmes partout dans le monde, d'être libres de leur corps, de leur tête et de leur cœur.
Aliaa Magda Elmahdy entre définitivement dans l'histoire, au même titre que la Kahena qui avait fait de la femme algérienne la première révolutionnaire du monde arabe.
Que le collasophe invoque le boson de Higgs dans son billet n'est pas pour me déplaire… C'est sa manière d'atomiser ses ennemis…
RépondreSupprimerBonne année 2013 cher Alain,
RépondreSupprimerعَامُ سَعِيدُ
الفَانِ وَ ثَلَاثَةَ عَشَرَ
٢٠١٣
et que notre vie soit poésie…