mercredi 8 septembre 2010

La cavalière du Hadramaout


A Joumana Haddad



Pour le vent de liberté radicale qu'elle souffle dans les trompes de Fallope  avec son "J'ai tué Schéhérazade" (Actes Sud). Pour le séisme qu'elle provoque dans les circonvolutions du cerveau arabe, gorgées, selon Nizar Kabbani, "d'incubes et de succubes qui nous dévorent". Pour les  perspectives qu'elle ouvre enfin à la langue et aux lettres arabes demeurées trop longtemps pétrifiées.

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