Il y a les choses qu'on fait parce qu'il faut pourtant qu'on mange.Et les soleils qu'on porte en soi comme des charettes d'oranges, il ne faut pas trop en parler c'est très mal vu dans le quartier. Après tout je vous le concède, il y a métier et métier, la littérature en est un d'étrange.
Louis Aragon
C’est absolument et superbement torride, que dis-je, c’est bouillonnant, effervescent, emporté, enflammé, exalté, fanatique, fervent, fougueux, frénétique, impatient, impétueux, passionné, véhément, vif, violent et volcanique !
RépondreSupprimerEt, pour marquer le coup, voici une petite « histoire de pieds » :
Un séducteur avait mis sur pied un plan pour prendre son pied avec une inconnue, rencontrée au pied de son immeuble. Elle se démenait d’arrache-pied pour trouver chaussure à son pied. Elle accepta donc de mettre les pieds dans le pied-à-terre où l’homme vivait sur un grand pied. Lui, après en avoir gardé sous le pied pendant une bonne partie de la soirée, tout en lui faisant du pied, décida de mettre les pieds dans le plat et balança les verres à pied au pied du canapé. Mais ce séducteur au petit pied, en réalité bête comme ses pieds, lui cassait les pieds et elle se retrouva pieds et poings liés, ne sachant pas sur quel pied danser. Un jour, elle se mit finalement sur le pied de guerre après s’être levée du pied gauche. Elle l’attendit de pied ferme, décidée à le descendre à coups de pied de son piédestal, cette espèce de va-nu-pieds ! Ça lui ferait les pieds ! Mais ce pied-tendre n’a pas perdu pied et loin de sortir les pieds devant, lui a fait un pied de nez en la remplaçant au pied levé.
In girum imus nocte et consumimur igni !
BeO